PHYSALIS ~ kikoolol !

Physalis


Surnom : Vous croyez vraiment que quelqu'un de -plus ou moins- sain d'esprit
va se donner des surnoms tout seul ? oO'
Age : 11 croissants de lune !
Sexe : Mâle owo


Dont even think about it..





Biographie -


Courir. Sans s’arrêter. Courir au mourir. Courir par ce qu’on a pas le choix. Courir. Sans s’arrêter. Même si vos muscles crient grâce, même si vous ne vous sentez plus bouger, même si vous ne voyez plus ou vous allez. Ne jamais s’arrêter… Pas quand la mort vous traque sans fatigue.

Les pattes ankylosées, l’esprit dans les vapes, Physalis galopait sans répit à travers le bois, s’écorchant les flancs sur des bouquets de ronces, ses poumons contractés par l’espoir de survie, le fol espoir qui le poussait à continuer sa course affolée contre la faucheuse. Jamais il n’aurait pu imaginer finir ainsi… Fuyant lâchement au lieu de faire face, abandonnant sa famille derrière lui. Non, pas toute sa famille. A ses côtés, le pelage clair de sa petite sœur lui redonnait espoir, la force et l’envie de vivre, plutôt que de s’abandonner. Elle respirait difficilement, et il entendait son petit cœur affolé battre la chamade. Il la voyait ralentir, lentement, et il commençait à le devancer, supportant mieux la course, faisant preuve d’une endurance insoupçonnée. Il lui lança un regard encourageant, lui souffla de ne pas s’arrêter. Il tenta de la rassurer mais le temps pressait et son souffle l’abandonnait. Et la panique qui se lisait d’abord dans les yeux de la chatonne s’était transmuté en désespoir, en vengeance découragée par la fatigue, la faiblesse.

Pour rien au monde Physalis n’aurait abandonné sa sœur. Ou plutôt ; il aurait tout donné pour lui sauver la peau. Il se jetterait aux pieds de la mort si sa sœur pouvait en réchapper. Naranja.

C’est alors qu’elle trébucha, percutant une racine. Elle vacilla, failli s’effondrer, et le cœur de Physalis s’arrêta de battre. Elle ne pouvait pas mourir, pas comme ça ! Il fit demi-tour, se précipitant vers elle. Il l’aida à se relever, la prenant par la peau du coup comme une chatte avec ses petits. Il la poussa vers un arbre, le seul qui semblait assez solide pour supporter un poids félin : « Montes ! » . Naranja ne dit rien. Elle ne bougea pas non plus. Elle n’avait pas besoin de parler. Physalis pouvait lire ses pensées comme elle devinait les siennes. Elle ne voulait pas monter, pas si son frère resta en arrière. Mais au fond, il le fallait. Mieux valait un mort que deux. Physalis avait fait demi tour pour elle, s’était sacrifié pour elle. Elle ne devait pas gâcher cette ultime chance. Elle grimpa, et Physalis disparu.







« -Hé, papa, j’en ai un, regarde, j’en ai un !
-Oh, bravo, tu es très douée, sac à puces !
-Gros méchant va !
-Je suis sincère, tu es douée ! »



Naranja s’ébroua, fronçant la truffe de contentement : a ses pieds se trouvait une dépouille –quelque peu déchiquetée & déplumée- de sa première proie ! Il s’agissait d’une mésange, oiseau particulièrement facile à attraper par sa lenteur et sa stupidité. Les yeux de Physalis pétillèrent, C’était tellement mignon, cette petite boule de poil qui était si fière d’avoir attraper le volatile le plus abruti de ce monde. Il s’approcha à pas de velours de son père et de sa sœur, tenant dans sa gueule une pie de bonne taille. Un éclair de fierté brilla dans le regard de Monde –le père de Physalis et de Naranja. Ses deux rejetons étaient des petits surdoués de la chasse, il n’en doutait pas. Il les invita à rejoindre Sombre au campement. Sombre était la mère des petits, une chatte ravissante en tous point de vue, avec qui Monde était ravi de partager sa vie. Il pensait l’aimer, sincèrement.

Le campement provisoire était situé dans une cuvette herbeuse au milieu d’une prairie. Le contrebas permettait de se protéger du vent, et de vieux terriers de renard y étaient restés vides. Sombre les avaient fourrés de plumettes et de feuilles, promettant une nuit confortable et un sommeil de plomb. Un petit ruisseau clapotait sur la bordure du recoin, apportant une source sure d’eau pure. Physalis aimait cet endroit, mais il savait qu’il ne devait pas trop si attacher. Voilà deux nuit qu’ils s’étaient installés, et ils repartiraient d’ici quelques jours, juste assez peu de temps pour que les prédateurs alentours n’aient pas le temps de les attaquer de manière construite. Cette vie nomade plaisait à la petite famille. Physalis avait sept lunes, sa sœur en avait trois de moins, mais ils étaient habitués à marcher plusieurs jours d’affilés pour trouver un autre campement. Avant de repartir.

Physalis espérait cependant qu’ils trouveraient un jour l’endroit idéal où ils vivraient toujours, enfin un endroit où ils se sentiraient protégés et chez eux.

Il s’installa devant les tanières pour entamer son repas, imité par le reste de la famille. Ils mangeaient paisiblement, les uns blottis contre les autres lorsque Monde leva la tête, une lueur de peur mêlée à la surprise dans son regard. Il huma l’air, une fois, deux fois, la gueule entrouverte. Inquiète, Sombre l’imita et son expression curieuse se transforma en peur.



A FINIR ~



Psychologie (4 lignes obligatoires) -



Physionomie (4 lignes obligatoires) -




- VOTRE PUF -
( Si vous n'en avez pas, mettez « Moi » )


Comment es-tu tombé ici ? La magie des doubles compte ! 8 D
Votre Age ? 13 dans tout juste une semaine !
Autre chose ? Rainette des Champs = Moi :)



- Allez, il faut bien divertir le Staff : D -


Alors, vous avez trouvé mes merveilleux codes ? Pas encore, mais ça vient ! o/
Vous voulez un parrain ? Autumn' ? :3

Bonjour et bonsoir !

J'ai le regret d'annoncer que je voudrais supprimer ce personnage. J'ai déjà du mal à en activer un seul, alors il ne vaut mieux pas que je me lance dans le double compte. Vous pouvez supprimer ma présentation et mon personnage, sauf si vous voulez vous en servir comme Prédéfini, au quel cas j'accepte avec plaisir de finir sa présentation ! (:

Désolé de vous avoir fait patienter ! :/
Rain'

Je peux m'occuper de supprimer le compte, et la décision te revient (:
Si tu as la motivation pour achever la présentation, à ton aise, sinon, personne ne t'en blâmera ;3.